Papyrus magique
Le "Grec papyrus magiques" (Papyri latine Graecae Magicae, en abrégé PGM) est le nom donné par les chercheurs pour un corps de papyrus de l'Egypte gréco-romaine, qui contiennent chacun un certain nombre de sorts magiques, des formules, des hymnes et des rituels. Les matériaux à partir de la date papyrus 2ème siècle avant JC au 5ème siècle après JC.
Les manuscrits ont été retrouvés grâce au commerce des antiquités, à partir du 18ème siècle. Un des plus connus de ces textes est le soi-disant Liturgie de Mithra .
Les textes ont été publiés dans une série, et des textes individuels sont référencées à l'aide de l'abréviation, plus le numéro du volume PGM et le point. Chaque volume contient un certain nombre de sorts et des rituels. D'autres découvertes de textes similaires venant d'ailleurs ont été attribués des numéros PGM pour plus de commodité.
Contenu :
Beaucoup de ces pièces de papyrus sont des pages ou des extraits fragmentaires de livres de sorts, des référentiels de connaissance des arcanes et les secrets mystiques. Dans la mesure où elles ont été reconstruites, ces livres semblent tomber dans deux grandes catégories : les uns sont des compilations de sorts magiques et des écrits, réunis par des collectionneurs érudits soit par intérêt académique ou pour une sorte d'étude de la magie, d'autres ont peut-être été l'oeuvre de travail personnels de magiciens de voyage, contenant leur répertoire de sorts, des formules pour toutes les occasions. Ces utilisateurs souvent peu éduqués étaient plus considérés comme forains que la traditionnelle "égyptienne assistants", qui étaient un très instruits et respectés élite sacerdotale.
Les pages contiennent des sorts, recettes, formules et prières, entrecoupées de mots magiques et souvent en sténographie, avec des abréviations pour les formules plus fréquent. Ces sorts vont de convocations impressionnants et mystique de dieux sombres et les démons, pour les remèdes populaires et même des astuces de société;. De mauvais augure, des malédictions mortelles, à l'amour des charmes, des remèdes pour l'impuissance et mineures plaintes médicales.
Dans de nombreux cas les mots et les phrases stéréotypées sont étonnamment semblables à ceux trouvés dans defixiones ( comprimés malédiction ou des sorts de liaison, κατάδεσμοι en grec), comme celles que nous trouvons inscrit sur ostraca , amulettes et tablettes de plomb. Étant donné que certains d'entre elles datent de defixiones dès le sixième siècle avant JC, et ont été trouvés aussi loin que d'Athènes, en Asie Mineure, Rome et en Sicile (ainsi que l'Egypte), cela donne un certain degré de continuité et suggère que certaines des observations sur la base sur le PGM ne sera pas tout à fait inapplicable à l'étude de la plus large du monde gréco-romain.
désolé pour la traduction en "petit français" car c'est une traduction anglaise de wikipédia.. Donc pas tip top au niveau français.
