Rappel du premier message :
Les étranges propriétés des crânes de cristal
Les crânes de cristal, dont l’origine reste trouble pour la plupart d’entre eux, semblent posséder de mystérieux pouvoirs.
Une légende Maya et Aztèque mentionne l’existence, à travers le monde, de 13 crânes de cristal.
Ceux-ci, dit-on, renferment des informations essentielles sur l’Humanité, permettent la divination et possèdent un pouvoir de guérison.
Il existe plusieurs « variétés » de crânes en cristal, chacun possédant des caractéristiques particulières.
Les crânes les plus connus sont :
- Celui d’Anna Mitchell-Hedges.
- « Sha-Na-Ra », le crâne de Nick Nocerino, ce dernier étant décédé en 2004, apprend-on dans le n°8 (février-mars 2005) de « StarGate Magazine ».
- « Max », le crâne de Jo Ann Parks.
- Celui de Norma Redo (propriétaire du crâne à la croix reliquaire).
Diverses théories ont été émises à propos de l’origine de ces crânes :
- Atlantide ;
- Origine extraterrestre …
Vous pouvez vous référer, à ce sujet, au livre fondamental de Chris Morton et Ceri Louise Thomas, « le Mystère des Crânes de Cristal » (éditions du Rocher).
Voici les 2 aspects particuliers liés aux crânes :
- Les possibilités de stockage d’une « information psychique » dans un crâne de cristal.
- Les propriétés thérapeutiques attribuées au cristal.
Une communication cristalline.
Pourquoi des ancêtres réputés « simples » et « primitifs » ont utilisé le cristal de quartz pour façonner ces crânes ?
Le Dr John Pohl, spécialiste des civilisations méso-américaines à l’Université de Los Angeles, semble penser que les descendants actuels des anciens Mayas connaissent les caractéristiques du quartz de cristal : « ils le comparent à une sorte d’antique poste de radio , de télévision, ou à un ordinateur, un appareil pour communiquer entre les mondes, une sorte de passage donnant sur d’autres dimensions, un moyen de communication avec le monde des esprits et les ancêtres ».
Il ne faut pas oublier que le cœur de l’ordinateur moderne, où toute l’information est stockée, est constitué d’une petite puce en cristal de silicium, les cellules de cette puce, le « circuit intégré », assurant la fonction mémoire de l’ordinateur.